samedi 19 mai 2012

Bruno Bettelheim

Nous abordons ici une dernière limite. Le sens véritable et l'impact d'un conte de fées ne peuvent être appréciés, et son enchantement ne peut être ressenti, que si l'histoire est exposé sous sa forme originale. Se contenter de citer des épisodes essentiels d'un conte, c'est exactement si on voulait faire apprécier un poème en le résumant.  Malheureusement,  à défaut de pouvoir reproduire intégralement les contes que j'étudie, j'ai du me borner à décrire leurs principaux épisodes. Comme est il facile de se procurer la plupart de ces contes, j'espère que ce livre donnera à beaucoup de lecteurs et de lectrices l'occasion de lire ou de relire le texte intégral des contes que je cite* Qu'il s'agisse du ''Petit Chaperon Rouge'', de ''Cendrillon'' ou de n'importe quel autre conte de fées, seule la version  originale permet d'apprécier ses qualités poétique et, en même temps, de comprendre comment il peuvent un jeune esprit prêt à réagir. 

Aucun commentaire:

Publier un commentaire