vendredi 23 mars 2012

 En discutant avec Martin (pour la deuxième fois); il me donne des idées de sujets pour mon BLOG, la première :  Leçons de Logique et celle-ci : La psychanalyse des contes de fées. Ce matin on parlait de  lecture, qui devait avoir une influence sur nos rêves qui pouvaient être transformés en cauchemar ou non, selon notre état d'esprit. Et je disais que les contes de fées était une source inépuisable pour l'éducation des enfants (les premiers livres que j'ai lu : La Comtesse de Ségur et les Contes d'Alphonse Daudet et Grimm etc) car ils leur apprennent a gérer leurs émotions d'où ce livre de Bruno Bettelheim très informatif . un petit bout de bio : 
(Google)Bruno Bettelheim (28 août 1903 à Vienne - 13 mars 1990 à Silver Spring, Maryland) était un psychanalyste, et pédagogue américain d'origine autrichienne. Il s'est rendu célèbre par la publication de livres de vulgarisation où il explique les théories pédagogiques et psychothérapiques, nouvelles à l'époque, mises en œuvre à l'École d'orthogénie de l'Université de Chicago qu'il a dirigée pendant trente ans Bruno Bettelheim considère que l'angoisse est l'élément central de la psychose de l'enfant. Il détecte dans les troubles comportementaux des enfants de l'École Orthogénique des carences affectives et l'angoisse de la mort. Sa thérapie se fonde sur la construction d'un environnement rassurant, matériel et affectif, préalable nécessaire à toute démarche thérapeutique. Psychanalyse des contes de fées dans lequel il montre comment ces textes transmis de génération en génération répondent de façon précise aux angoisses du jeune enfant. Le « Roi » et la « Reine » sont une image inconsciente des « bons » parents, comme la marâtre, la sorcière, l'ogre, font partie des fantasmes de l'enfant qui voit en ses parents, parfois non plus les « bonnes images », mais celle de parents méchants et frustrants.D'un point de vue purement pédagogique, Bettelheim rejoint en cela des idées développées par A.S. Neill à l'École de Summerhill. Il insiste sur l'idée que, quels que soient les symptômes manifestés par les patients, ils sont la meilleure réponse que ceux-ci aient trouvée à leur angoisse. 
(Je pense avoir déjà parlé ici du livre ''Libres enfants de Summerhill'' dont la lecture m'avait fasciné et que j'ai essayé de mettre en pratique dans l'éducation de mes enfants) Alors au fil des jours je vais écrire un paragraphe de Psychanalyse des contes de féesPosted by Picasa
58.  La division doit être brève et immédiate. - Quand la division est trop longue, il y a confusion, et elle manque son but qui est de mettre de la clarté dans nos idées. Elle doit d'abord partager le tout en ses parties primaires, immédiates, et ensuite, en ses parties secondaires, médiates. Quelqu'un qui diviserait la logique en simple appréhension, jugement et raisonnement enfreindrait cette loi, puisque la simple appréhension, le jugement et le raisonnement ne sont pas les parties primaires ou immédiates de la logique. Celle-ci tout d'abord se divise en Dialectique et Critique. (Leçons de Logique)

En train... vers Québec!

 
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Ensoleillé
à 8h00, il fait 7.0