vendredi 13 juillet 2012

Excavation St-Pierre & Tremblay

 
La bordure des terrains ensemencée, protégée avec de la paille  et arrosée...semaine prochaine l'asphalte
La bouche d'égout est encore protégée par la balise routière.Posted by Picasa

Bruno Bettelheim

Le mythe est pessimiste, alors que le conte de fées est optimiste, aussi terrifiant que puissent être certains passages de l'histoire. C'est cette différence décisive qui met le conte de fées à l'écart de certaines autres histoires où interviennent également des événements fantastiques, que la conclusion heureuse soit due aux vertus du héros, au hasard ou à l'intervention de personnages surnaturels.
160. Cercle vicieux. -- Le cercle vicieux est le sophisme de pétition de principe renforcé. Il consiste non seulement à supposer comme prouvé ce qui doit être prouvé, mais il démontre réciproquement deux propositions, l'une par l'autre. Exemple :
Prouver l'existence de Dieu par la raison, et
démontrer la légitimité de la raison par ce motif qu'elle vient de Dieu.
qui n'a pu en faire une instrument d'erreur.
(Leçons de Logique)

La Canicule jusqu'à mardi

(Wiképédia)

Étymologie[modifier]Canicule vient du latin Canicula, qui signifie « petite chienne », l'autre nom de l'étoile Sirius. Elle ne concerne donc à l'origine que la période annuelle du 24 juillet au 24 août, où cette étoile se couche et se lève en même temps que le Soleil, ce qui avait laissé penser aux anciens qu'il y avait un lien entre l'apparition de cette étoile et les grandes chaleurs. Ainsi Pline l'Ancien écrivait :

« Quant à la Canicule, qui ignore que, se levant, elle allume l'ardeur du soleil ? Les effets de cet astre sont les plus puissants sur la terre : les mers bouillonnent (XVIII, 68) à son lever, les vins fermentent dans les celliers, les eaux stagnantes s'agitent. Les Égyptiens donnent le nom d'oryx à un animal qui, disent-ils, se tient en face de cette étoile à son lever, fixe ses regards sur elle, et l'adore, pour ainsi dire, en éternuant. Les chiens aussi sont plus exposés à la rage (VIII, 61) durant tout cet intervalle de temps ; cela n'est pas douteux. »
Pline l'Ancien, L'Histoire naturelle, livre II, Chapitre 40-42-43