EXPO 67 / États-Unis-d'Amérique

http://www.collectionscanada.gc.ca/expo/0533020215_f.html

Situé à l'extrémité ouest de l'île Sainte-Hélène, à côté du pavillon de l'URSS dont il est séparé par le chenal Le Moyne, le pavillon des États-Unis d'Amérique, d'une apparence étonnamment belle, est sans contredit l'une des structures ayant le plus marqué Expo 67. Même s'il suscite d'abord la controverse, certaines personnes le jugeant trop audacieux, le dôme géodésique de l'architecte Richard Buckminster Fuller s'avère rapidement l'un des symboles les plus forts de l'Expo. La couleur des parois extérieures se transforme sous l'effet des rayons du soleil grâce à un revêtement en acrylique et, le soir venu, le dôme s'illumine.Les visiteurs sont ébahis lorsqu'ils entrent dans ce chef-d'œuvre d'architecture de 80 mètres de diamètre et d'une hauteur de 20 étages. Lorsqu'ils empruntent le minirail, l'expérience est d'autant plus saisissante.

À l'intérieur du pavillon, diverses expositions sont présentées. Le cinéma américain et plusieurs aspects du monde du spectacle y occupent une place importante. Les beaux-arts sont représentés notamment par des œuvres du mouvement pop art et op art (arts visuels). On y relate également l'arrivée et la vie des premiers colons européens en terre américaine. De plus, les visiteurs peuvent en apprendre davantage sur les réalisations et les projets des astronautes, tout comme sur leurs outils de travail. Ces expositions illustrent bien le thème du pavillon : l'Amérique créatrice.

Le dôme géodésique, offert à la ville de Montréal par le président Lyndon B. Johnson, abrite aujourd'hui la Biosphère, un centre d'observation environnementale.

Yvonne Duckett (née à Sorel le 1er septembre 1889 - morte à Montréal le 29 octobre 1970) est une professeure d'art dramatique québécoise. On la connait aussi sous le nom de Madame Audet.

Yvonne Duckett est une pionnière de l'enseignement du théâtre au Québec. Après des études en élocution française à l'Université de Montréal, elle continue toute sa vie à approfondir ses connaissances en phonétique des langues aux universités Columbia, de Strasbourg, de Mexico ainsi qu'à la Sorbonne[1]. D'origine irlandaise, elle se marie au dentiste Jean-Louis Audet en 1912; par conséquent elle est connue sous le nom de Madame Audet.

Peu de temps après, elle amorce sa carrière d'enseignante au Conservatoire Lassalle. Pendant plusieurs décennies, elle enseigne au Conservatoire d'art dramatique de Montréal, à l'école de musique Vincent-d'Indy et à sa propre école, chez elle, au cœur du Plateau Mont-Royal (à Montréal)[1].
Sa technique d'enseignement va au-delà de la diction : elle donne également des cours de relaxation et de phonétique et elle innove avec l'éducation par le jeu.
Yvonne Duckett publie des articles dans la Revue de la Société du bon parler français et dans le journal Le Devoir. Ses cours de phonétique sont diffusés à la radio de la CKAC, à la radio de Radio-Canada et dans les écoles de la CECM.

Des années 1930 jusqu'à la fin des années 1950, elle forme toute une génération de comédiens québécois d'envergure comme Yvette Brind'Amour, Marjolaine Hébert, Gaétan Labrèche, Béatrice Picard, Guy Mauffette, Dominique Michel, Hubert Loiselle, Camille Ducharme et Nathalie Naubert

Dans la chanson Miss Pepsi, interprétée par Robert Charlebois, l'auteur (Mouffe) fait référence explicitement à Madame Audet qui était, à la fin des années 1960, à sa façon, une icône culturelle québécoise.  (Référence Wikipédia)

Visite guidée à Lennoxville

Boire le thé comme chez les Anglais. Lire du Shakespeare assis dans une librairie ou siroter une bière dans un pub en attendant l'arrivée d'un fish'n chips. À Lennoxville, arrondissement de la ville de Sherbrooke, la vie a gardé ses accents britanniques. Les résidants, en majorité anglophones, partagent le coeur de la ville avec les étudiants de l'Université Bishop's, surnommée «l'Oxford du Massawippi».

1 Black Cat Books
168B, rue Queen, 819-346-1786

Cette chouette petite librairie se spécialise dans la vente de livres usagés, publiés dans la langue de Shakespeare. Les bouquins, auxquels se mêlent quelques titres en français et livres neufs, s'entassent en rangs serrés sur des étagères qui vont du plafond au plancher. La proprio, Janice LaDuke, a un faible assumé pour les romans et les livres pour enfants. Dans ces domaines, le choix est très varié. Une adresse chouchou de la communauté anglophone de la région depuis 14 ans.

2 Golden Lion's Pub
6, rue College, 819-562-4589 www.lionlennoxville.com

Une pionnière parmi les microbrasseries québécoises: on y a servi la première bière brassée sur place en 1986. Depuis, le pub s'est agrandi, on y a ajouté une piste de danse, des tables de billard, une terrasse. Résultat: l'endroit est devenu le repaire de prédilection des étudiants de l'Université Bishop's ou de ceux du collège Champlain. Ici, la bière se boit surtout en format pichet (oubliez les palettes de dégustation et autres fantaisies pour bièrophiles gourmets), le menu se compose de grands classiques (steak, fish'n chips et autres ailes de poulet), les murs sont décorés d'une imposante collection de canettes de bière et les écrans télé diffusent du sport en continu. Pas surprenant que le «Lion» ait déjà été sacré meilleur pub étudiant au pays par la populaire émission de télé The Rick Mercer Report.

3 Nostalgia
168A, rue Queen, 819-346-1222
Une nouvelle venue au coeur de Lennoxville. Cette boutique de cadeaux et d'accessoires décoratifs a ouvert ses portes à la mi-septembre. Dans le grand local lumineux, la propriétaire Nathalie Labrecque propose ses plus belles trouvailles: bijoux, meubles revampés, thés fruités, artisanat écochic, produits bios pour la peau et autres objets non indispensables, mais ô combien agréables à (s')offrir. Ouvert du mardi au samedi.
4 Centre culturel et du patrimoine Uplands
9, rue Speid, 819-564-0409 www.uplands.ca
Difficile d'imaginer endroit plus approprié pour prendre le thé à l'anglaise que cette maison vieille de 150 ans. Sous l'impulsion de la Société d'histoire de Lennoxville-Ascot, l'endroit a retrouvé son décor d'antan, celui de l'époque dorée où la famille Speid recevait dans son salon aux murs tapissés de fleurs. Le week-end, on peut y boire le thé, accompagné de scones et de petits gâteaux. La semaine, le centre propose plusieurs petites expositions à caractère historique. Jusqu'au 16 décembre, on y présente un petit marché des Fêtes qui regroupe plusieurs oeuvres signées par des artistes de la région: vitraux, poteries, sculpture sur bois ou peinture. Entrée gratuite. Ouvert du mercredi au dimanche, de 13h à 16h30.
5 Le marché de la Ferme Beaulieu
3750, route 143, Waterville, 819-562-6477 www.fermebeaulieu.com
Situé tout juste à l'extérieur des limites de Lennoxville, ce marché fermier déborde de produits à faire saliver: des fruits et des légumes bien sûr (ces derniers sont cultivés dans les champs adjacents), mais aussi des tartes, des gâteaux, des muffins, des marinades ou du pain, préparés sur place. L'été, le pain est d'ailleurs cuit tous les week-ends dans le four à bois extérieur. Viandes, fromages et autres produits de la région trouvent aussi leur place sur les étalages. Le marché est ouvert jusqu'au 23 décembre, du jeudi au dimanche. Réouverture en mai.
6 La Brûlerie de café de Lennox
112, rue Queen, 819-791-2992 www.bruleriedecafe.com

Certes, ce café fait partie d'une chaîne, mais on trouve ici une ambiance plus sympathique que dans bien des succursales formatées. Murs de pierre, tables de bois et fauteuils de cuir donnent aux différentes salles ce côté feutré qui donne envie de s'éterniser. Sur place: un choix impressionnant de cafés torréfiés au Québec, du thé en feuilles, des jus, de la bière ou des chocolats chauds, à boire avec une gourmandise sucrée ou salée.

 Stéphanie Morin
La Presse
http://www.lapresse.ca/voyage/dossiers/visites-guidees/201212/11/01-4602795-visite-guidee-a-lennoxville.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyagez-au-quebec_1763588_accueil_POS1

Pour Sophie, Martin et Suzanne...

Le tramway avec trolley!

Mathieu hier a visité le Musée Expo Rail à Saint-Constant, en regardant le blog de Martin, il y avait une photo de tram et ça m'a rappelé des souvenirs. Voici le tramway de ma jeunesse que de bons souvenirs, plus confortable que l'autobus, j'ai même tricoté un manteau en faisant le trajet entre mon travail et la maison  (de la Place d'Armes à Georges IV, une bonne quarantaine de minutes) j'allais m'installer sur le dernier banc et je tricotais et le matin je refaisais la même chose. Quand il y avait beaucoup de gens qui attendaient pour monter, la phrase clé du conducteur :''Avancez en arrière'' ca me faisait sourire mais en y pensant bien il avait raison car pour aller vers l'arrière il fallait se retourner et avancer vers l'arrière. (1861 à 1959)

DEAR DIARY,

Il est grand temps que je commence à écrire mais je n'ai jamais été la petite fille à écrire dans son journal rose avec serrure et forme de coeur et petite clé dorée, je préférais écrire des scénarios de films mon imagination pouvait vagabonder à loisir !

Naturellement je reviens en arrière, je dois m'habituer à naviguer dans ce blogue. Il ne faut pas se fier aux dates car je peux revenir en arrière et modifier.