Le bonheur du travail, c'est l'apprentissage.
C'est le sentiment d'avoir donné le meilleur de soi, nourri de l'espoir d'avoir fait mieux que la fois d'avant. C'est aussi la conscience humble d'avoir commis des erreurs et l'intelligence de reconnaître qu'on en fera d'autres.
La suffisance est un abus de pouvoir.
Une bêtise qui dénote l'ignorance de la personne qui la pratique.lu dans le Châtelaine de Louise.
j'ai lu son premier qui était intéressant (Et si c'était vrai), mais un seul m'a suffit. Ca dégouline de bons sentiments et gnan gnan gnan...ça plait beaucoup ici... aussi.
RépondreEffacerLes avis sont partagés...et respectables. En voici quelques uns:
Les romans de Marc Lévy ne bénéficient pas d'un très bon accueil de la presse. L'écrivain le sait, et s'est souvent exprimé sur le sujet. À la sortie du Voleur d'ombres, il s'était emporté à propos des « pseudo-littéraires », qui qualifient ses œuvres de « romans de plage » ou de « romans de gare », fustigeant la « critique parisienne » qui n'aime pas « les écrivains populaires »[1].
François Busnel évoque des livres « cousus de fil blanc et écrits avec 150 mots. C’est comme la série Les Feux de l'amour. On connaît déjà la fin, les émotions sont conditionnées et la morale toujours la même : l’amour est plus fort que la mort et nous nous retrouverons… Il n’y a aucune surprise »[2]. L'Express décrit les ingrédients du succès de l'écrivain : « l'enfance, l'amour et l'amitié à la sauce mélo »[3]. Libération décrit son écriture comme « minimaliste, pour ne pas dire minimale », supporté par une narration « des bons sentiments et des happy-end »[4]. Plus favorable à l'auteur, Le Figaro évoque un style visuel et très « cinématographique », lui permettant d'ailleurs d'être facilement courtisé par les producteurs de films car ses romans sont « aisément adaptables »[5].
Le site fluctuat.net reproche à Mes amis mes amours son « absence totale de surprise et de densité » : le travail de l'écrivain pouvant être vu comme « la ligne claire de l'art populaire, l'œuvre qui refuse de vous rendre plus intelligent mais se met exactement et à tout moment à votre hauteur. Le tout est ordonnancé comme une sublime fabrique industrielle de clichés »[6].
Olivier Bruzek, dans L'Express, avoue ne rien avoir compris à Sept jours pour une éternité, dont il relève les clichés et les formules toutes faites (une idée qui « traverse » un esprit ; un ciel « sublime » ; « le plus grand des hasards » ; les mots qui n'ont pas un ordre mais un « ordonnancement »)[7].
Grégoire Leménager, dans Le Nouvel Observateur, qualifie le roman Le Premier jour de « romance sirupeuse écrite au petit bonheur où la « timidité » est forcément « maladive » et où le hasard fait toujours très bien les choses (voir p. 145 : le héros confie à son ami n'avoir jamais oublié une histoire d'amour qu'il a eue quinze ans plus tôt avec une étudiante ; et p. 176 : il la rencontre dans un ascenseur, elle l'embrasse dans la minute) ». Le critique n'y voit qu'un « précis de morale de supérette qui nous enseigne que "l'enfant que l'on a été reste à jamais en soi", que "l'amitié ne se construit pas sans preuves de confiance", qu'"un monde parfait" serait "un monde libre" ». L'histoire, « à dormir debout », est résumé d'une formule lapidaire : « plus débile, tu meurs »[8].
Le style de Marc Lévy a été parodié par Pascal Fioretto dans le postiche Et si c'était niais ?[9], et a fait l'objet d'une analyse critique et ironique dans Le Jourde & Naulleau.
Mais il fait du pognon...mais pas le mien.
Sur Wikpédia, il faut cité ses sources !
RépondreEffacerPourquoi tout ce bla,bla, bla... J.P. je n'ai ps lu ces livres; ce sont les deux phrases qui m'ont plu de son court interview dans le Châtelaine de Louise.
RépondreEffacerah oui, ''Ce que j'ai appris'' est le titre de l'article.
RépondreEffacerA titre de mise en garde tout simplement, mais tu peux les avoir à la biblio. et te faire une idée du genre, et puis j'en ai connu une à qui ça commençait de lui filer de drôles d'idées dans la tête. Dieu que cela est mal phrasé !
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