photo prise chez Simonne et Roméo à Montréal le 25 d.cembre 1965
dimanche 28 décembre 2008
Je me souviens du 28 décembre 1965
Les mots sont insuffisants pour exprimer ce que j'ai ressenti quand j'ai appris la nouvelle... j'ai vu des ruines devant mes yeux ... les rideaux de ma mère étaient en lambeaux..... Alexandre avait 7 ans et 6 mois.
Fêtes de Noël 1952 au Manor House, Williamstown, Ontario
en 2008 - bibliothèque dans l'ancien salon
et la maison aujourd'hui
Rivière Beaudette, Qc
Débonnaire et moi
Cookie et sa maman Goldylock
l'heure de la tétée
Mon amoureux de l’époque André Boucher était le jockey des Devaux (il était aussi apprenti orfèvre chez Birks) et les courses terminées ils rejoignaient leur quartiers d’hiver, le Manor House à Williamstown en Ontario tout près de la frontière du Québec. J’ai passé plusieurs fin de semaine dont celle de Noël 1952, à ce moment là je voyageais par autobus et comme la photo le démontre, il y avait de la pluie verglaçante cette fin de semaine là aussi. J’ai assisté à la naissance de Cookie le fils de Goldylock; au marquage des agneaux (j’ai même fait de l’équitation sur une brebis, on a bien rit de moi) Je m’occupais des chevaux avec André, j’ai visité les fermes appartenant aux Devaux, gérées par des Amish ou Mennonites (je ne suis pas certaine). Au retour de nos expéditions (à l'heure du thé) Mme Devaux nous faisait toujours un chocolat chaud que nous prenions dans la bibliothèque ou il y avait toujours un feu de foyer, on jouait aux cartes avec elle, on lisait. Le soir de Noël on a diné dans la salle à manger et après pris le café dans l’aile est (qui est ouverte au public maintenant) un salon d’époque ou il y avait un piano à queue et de nombreux divans, plusieurs grandes fenêtres avec des rideaux de velours, assez impressionnant. Dommage mes souvenirs sont vagues c’est à peu près ce que je me rappelle. Cette partie de ma jeunesse fut des plus agréables, j'ai passé quelques étés à Blue Bonnet ou il y avait des courses de pures sang à ce moment là, mais c'est une époque très lointaine mais souvenirs sont flous (comme mes photos). Je voulais en savoir plus j’ai donc consulté Google et voilà ce que j’ai trouvé, je vais surement faire d’autres recherches; quand les écuries ont brulées , y avait-il encore des chevaux? J'espère que non sinon quel drame!
This area was first settled by United Empire Loyalists. The development of this area was encouraged by Sir John Johnson, a wealthy landowner loyal to Britain, who was forced to abandon his land holdings in New York State during the American Revolution.
Johnson built a house in Williamstown near the end of the 18th century, The Manor House, which is now a Canadian National Historic Site. A grist mill and saw mill, now gone, were also built on the same location. Williamstown also contains the oldest log house in Ontario which was built in 1784. Occupants over the years have included the Reverend John Bethune, the great great grandfather of Doctor Norman Bethune, and David Thompson, Canadian explorer.
The social atmosphere of Williamstown and surrounding area was enhanced by subsequent owners. They included: Murdoch McLennan, a businessman, and farmer; his nephew Col. D. M. Robertson Q.C.; and Mr. and Mrs. Lionel Devaux, thoroughbred horse breeders and trainers.
In 1938 the Manor House and farmlands were sold to Lionel A. Devaux , a retired Montreal businessman. Devaux raised and trained thoroughbred race horses in the stables which were destroyed by fire in 1954.The Sir John Johnson House was declared a place of national historic significance in 1961 by the Historic Sites and Monuments Board of Canada. It was acquired by Parks Canada in 1971 and became part of a national system of parks and historic sites. Currently the east wing houses the Williamstown Library.
Johnson built a house in Williamstown near the end of the 18th century, The Manor House, which is now a Canadian National Historic Site. A grist mill and saw mill, now gone, were also built on the same location. Williamstown also contains the oldest log house in Ontario which was built in 1784. Occupants over the years have included the Reverend John Bethune, the great great grandfather of Doctor Norman Bethune, and David Thompson, Canadian explorer.
The social atmosphere of Williamstown and surrounding area was enhanced by subsequent owners. They included: Murdoch McLennan, a businessman, and farmer; his nephew Col. D. M. Robertson Q.C.; and Mr. and Mrs. Lionel Devaux, thoroughbred horse breeders and trainers.
In 1938 the Manor House and farmlands were sold to Lionel A. Devaux , a retired Montreal businessman. Devaux raised and trained thoroughbred race horses in the stables which were destroyed by fire in 1954.The Sir John Johnson House was declared a place of national historic significance in 1961 by the Historic Sites and Monuments Board of Canada. It was acquired by Parks Canada in 1971 and became part of a national system of parks and historic sites. Currently the east wing houses the Williamstown Library.
Je suis vraiment impressionnée d'avoir séjournée dans un manoir devenu monument historique, ça ne me rajeunie pas!
jeudi 25 décembre 2008
mercredi 24 décembre 2008
lundi 22 décembre 2008
dimanche 21 décembre 2008
samedi 6 décembre 2008
vendredi 5 décembre 2008
mardi 2 décembre 2008
Météo / Brome - Novembre 2008
dimanche 30 novembre 2008
Féminin ou Masculin?
Une enseignante francophone expliquait à sa classe, que dans la langue française les noms, contrairement à l'anglais, sont désignés au masculin et au féminin.
Par exemple: Maison est féminin..une maison
Crayon par contre, est masculin...un crayon
Un élève demanda à l'enseignante, quel genre est donc le nom ordinateur
Au lieu de donner la réponse, l'enseignante sépara la classe en deux groupes, hommes et femmes et leur demanda de décider par eux-mêmes si ordinateur est masculin ou féminin.
Elle demanda à chaque groupe de donner 4 bonnes raisons pour appuyer sa recommandation.
Les hommes décidèrent à l'unamité que ordinateur est définitivement féminin (la ordinateur) parce que:
1. Personne autre que son créateur ne comprend sa logique intérieure;
2.Le language de base que les ordinateurs utilisent avec d'autres ordinateurs, est incompréhensible pour tout le monde;
3. Même la plus petite erreur est gardée en mémoire vive à long terme pour être ramenée à la surface plus tard;
4. Aussitôt que vous vous commettez à une ordinateur, vous vous exposez à dépenser la moitié de votre chèque de paye pour des accessoires pour elle;
Le groupe de femmes, toutefois, conclua que L'Ordinateur est masculin parce que:
1. Afin d'accomplir quoique ce soit avec lui tu dois l'allumer;
2. Il est bourré de matériel de base mais ne peut penser par lui même;
3. Il est sensé régler beaucoup de problèmes, mais la moitié du temps il est le problème lui-même;
4. Aussitôt que tu te commets à un, tu réalises que si tu avais attendu un peu, tu aurais obtenu un meilleur modèle;
Les femmes ont gagnées.
jeudi 27 novembre 2008
mercredi 26 novembre 2008
mardi 18 novembre 2008
dimanche 16 novembre 2008
samedi 8 novembre 2008
Obama
Caricature de David Fitzsimmons - Arizona Daily Star (MSNBC)
Cyberpresse 08 novembre 2008 - Rima Elkouri
Obama et les idiots.
Je ne sais plus combien de fois j'ai écouté le discours de la victoire d'Obama, tel un nouvel air dont on ne se lasse pas, un nouvel air qui nous fait changer d'ère.
L'extrait le plus émouvant, celui qui me donne des frissons à tout coup, est celui où Obama raconte l'histoire d'Ann Nixon Cooper, cette Afro-Américaine de 106 ans, née d'une génération juste après l'esclavage, qui a vécu assez longtemps pour voir l'impossible devenir possible : élire un Noir au poste le plus important du monde.Il n'y a pas si longtemps, a rappelé Obama, cette femme noire n'avait même pas le droit de vote - parce qu'elle était femme et parce qu'elle était noire dans une société où la ségrégation et le sexisme faisaient la loi. Elle a vécu à une époque «où il n'y avait ni voitures sur les routes ni avions dans le ciel». Elle a vu le temps pas si lointain où Blancs et Noirs ne pouvaient même pas s'asseoir côte à côte dans l'autobus. Elle a vu Martin Luther King rêver et mourir. Elle a vu défiler le grand film de l'Histoire. Elle a vu tant de choses changer. «La douleur et l'espoir, la lutte et le progrès, les fois où on nous disait que nous n'y pouvions rien et les personnes qui ont persévéré avec ce credo américain : Oui, nous le pouvons ! (Yes we can !)»
De façon brillante et poignante, avec l'éloquence d'un poète, Obama résumait le XXe siècle en quelques paragraphes et s'y plaçait à la fin, comme trois points de suspension qui appellent à l'espoir. Voyez tout ce que cette femme a vu, nous disait-il. Et pensez maintenant à tout ce que nos enfants pourraient voir. «Un homme a marché sur la Lune, un mur est tombé à Berlin. Notre monde a été relié grâce à notre science et à notre imagination. Et cette année, lors de cette élection, elle a touché du doigt un écran pour voter parce que, après 106 ans en Amérique, à travers les meilleurs moments et les heures les plus sombres, elle sait comment l'Amérique peut changer.»
Un orateur sans génie en aurait fait une histoire sirupeuse ponctuée de clichés et de slogans creux. Mais dans les mots d'Obama, c'était tout le contraire. La force évocatrice de cette histoire m'a soufflée, comme elle a soufflé des millions de personnes. Elle nous donne à voir le temps qui passe, l'Histoire qui s'écrit dans une main ridée posée sur un écran pour voter. L'image saisissante d'une dame de 106 ans qui incarne la jeunesse retrouvée de l'Amérique, sa soif de changement. Et tous ces gens, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, de toutes confessions, dans des palaces ou des coins perdus, à Nairobi, Chicago ou Montréal, qui répètent, hypnotisés : «Yes we can !»
«Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots.» En écoutant Barack Obama, inspirant et inspiré, évoquer sans le nommer le rêve de ce «preacher» d'Atlanta auquel il nous fait penser, j'avais en tête cette phrase lumineuse de Martin Luther King, prononcée quatre jours avant son assassinat, le 4 avril 1968.
Quarante ans plus tard, devant cette longue route escarpée qui est la sienne, un Obama tout aussi lumineux fait renaître le rêve assassiné. Le Monde en parlait comme de la «première bonne nouvelle planétaire depuis la chute du mur de Berlin en 1989». C'est une sacrée bonne nouvelle. Les attentes sont élevées, les déceptions seront inévitables. Il reste qu'Obama incarne mieux que quiconque ce désir profond de dire non aux idiots. Le contraste avec les discours simplistes, manichéens et arrogants de Bush est saisissant. Et réjouissant. Même si tout va mal, surtout si tout va mal, que des guerres font rage et que l'économie s'effondre, c'est déjà ça de pris.
j'aime bien cette caricature et cet article
L'extrait le plus émouvant, celui qui me donne des frissons à tout coup, est celui où Obama raconte l'histoire d'Ann Nixon Cooper, cette Afro-Américaine de 106 ans, née d'une génération juste après l'esclavage, qui a vécu assez longtemps pour voir l'impossible devenir possible : élire un Noir au poste le plus important du monde.Il n'y a pas si longtemps, a rappelé Obama, cette femme noire n'avait même pas le droit de vote - parce qu'elle était femme et parce qu'elle était noire dans une société où la ségrégation et le sexisme faisaient la loi. Elle a vécu à une époque «où il n'y avait ni voitures sur les routes ni avions dans le ciel». Elle a vu le temps pas si lointain où Blancs et Noirs ne pouvaient même pas s'asseoir côte à côte dans l'autobus. Elle a vu Martin Luther King rêver et mourir. Elle a vu défiler le grand film de l'Histoire. Elle a vu tant de choses changer. «La douleur et l'espoir, la lutte et le progrès, les fois où on nous disait que nous n'y pouvions rien et les personnes qui ont persévéré avec ce credo américain : Oui, nous le pouvons ! (Yes we can !)»
De façon brillante et poignante, avec l'éloquence d'un poète, Obama résumait le XXe siècle en quelques paragraphes et s'y plaçait à la fin, comme trois points de suspension qui appellent à l'espoir. Voyez tout ce que cette femme a vu, nous disait-il. Et pensez maintenant à tout ce que nos enfants pourraient voir. «Un homme a marché sur la Lune, un mur est tombé à Berlin. Notre monde a été relié grâce à notre science et à notre imagination. Et cette année, lors de cette élection, elle a touché du doigt un écran pour voter parce que, après 106 ans en Amérique, à travers les meilleurs moments et les heures les plus sombres, elle sait comment l'Amérique peut changer.»
Un orateur sans génie en aurait fait une histoire sirupeuse ponctuée de clichés et de slogans creux. Mais dans les mots d'Obama, c'était tout le contraire. La force évocatrice de cette histoire m'a soufflée, comme elle a soufflé des millions de personnes. Elle nous donne à voir le temps qui passe, l'Histoire qui s'écrit dans une main ridée posée sur un écran pour voter. L'image saisissante d'une dame de 106 ans qui incarne la jeunesse retrouvée de l'Amérique, sa soif de changement. Et tous ces gens, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, de toutes confessions, dans des palaces ou des coins perdus, à Nairobi, Chicago ou Montréal, qui répètent, hypnotisés : «Yes we can !»
«Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots.» En écoutant Barack Obama, inspirant et inspiré, évoquer sans le nommer le rêve de ce «preacher» d'Atlanta auquel il nous fait penser, j'avais en tête cette phrase lumineuse de Martin Luther King, prononcée quatre jours avant son assassinat, le 4 avril 1968.
Quarante ans plus tard, devant cette longue route escarpée qui est la sienne, un Obama tout aussi lumineux fait renaître le rêve assassiné. Le Monde en parlait comme de la «première bonne nouvelle planétaire depuis la chute du mur de Berlin en 1989». C'est une sacrée bonne nouvelle. Les attentes sont élevées, les déceptions seront inévitables. Il reste qu'Obama incarne mieux que quiconque ce désir profond de dire non aux idiots. Le contraste avec les discours simplistes, manichéens et arrogants de Bush est saisissant. Et réjouissant. Même si tout va mal, surtout si tout va mal, que des guerres font rage et que l'économie s'effondre, c'est déjà ça de pris.
j'aime bien cette caricature et cet article
jeudi 6 novembre 2008
Soleil couchant
lundi 3 novembre 2008
Météo /Brome - Octobre 2008
dimanche 2 novembre 2008
CHANGEMENT D'HEURE
L'heure d'hiver convient mieux à notre horloge biologique.
PsychoMédia - Publié le 26 octobre 2007
Mise à jour: 27 septembre 2008. Au Québec et en Amérique du nord le changement d'heure se fait dorénavant une semaine plus tard (soit le premier dimanche de novembre). Bien que le changement d'heure de l'automne marque le début pour plusieurs de la dépression saisonnière, printemps, selon le projet EUCLOCK financé par l'Union européenne. notre horloge interne s'ajuste généralement bien au passage à l'heure normale de l'automne alors qu'elle s'adapte très difficilement au passage à l'heure avancée du printemps.
Mise à jour: 27 septembre 2008. Au Québec et en Amérique du nord le changement d'heure se fait dorénavant une semaine plus tard (soit le premier dimanche de novembre). Bien que le changement d'heure de l'automne marque le début pour plusieurs de la dépression saisonnière, printemps, selon le projet EUCLOCK financé par l'Union européenne. notre horloge interne s'ajuste généralement bien au passage à l'heure normale de l'automne alors qu'elle s'adapte très difficilement au passage à l'heure avancée du printemps.
vendredi 31 octobre 2008
jeudi 30 octobre 2008
Bibliothèque
J'ai scié avec une égouine toutes ces planches et contruit toutes les étagères et j'ai même posé les portes.
Quand j'ai eu fini je me suis acheté une scie ronde, naturellement à retardement! Pourquoi faire facile quand on peut faire compliqué, mais quand on veut on peut!!!!
Construite en juillet 1998 et acrylique juillet 200
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